Les dinosaures ont été le moyen favori de propagande évolutionniste depuis le 19ème siècle, et continuent d’être utilisés pour promouvoir la religion pseudo scientifique de l’évolutionnisme dans les media séculiers. Des films comme Jurassic Park et Dinosaure de Walt Disney ont été conçus dans le but d’endoctriner les masses avec la vision du monde darwinien. L’intérêt que nos enfants manifestent pour les dinosaures est scruté avec attention par les évolutionnistes. Ils ont trouvé la faille par laquelle il faut passer pour arriver à saturer leur imagination avec des images sorties directement des contes de fée évolutionnistes.



LA BIBLE ET LES DINOSAURES

Louis Boné

 

« Voici béhémoth, à qui j’ai donné la vie comme à toi ! Il mange de l’herbe comme un bœuf. Le voici ! Sa force est dans ses reins, et sa vigueur dans les muscles de son ventre. Il plie sa queue aussi ferme qu’un cèdre ; les nerfs de ses cuisses sont entrelacés. Ses os sont des tubes d’airain, ses membres sont comme des barres de fer… »

(Job 40 : 10-13)

 

« Prendras-tu le léviathan à l’hameçon ? Saisiras-tu sa langue avec une corde ?… Ses éternuements font briller la lumière ; ses yeux sont comme les paupières de l’aurore. Des flammes jaillissent de sa bouche, des étincelles de feu s’en échappent. Une fumée sort de ses narines, comme d’un vase qui bout, d’une chaudière ardente. Son souffle allume les charbons, sa gueule lance la flamme… »

(Job 40 : 20 ; Job 41 : 9-10)

 

Les dinosaures ont été le moyen favori de propagande évolutionniste depuis le 19ème siècle, et continuent d’être utilisés pour promouvoir la religion pseudo scientifique de l’évolutionnisme dans les media séculiers. Des films comme Jurassic Park et Dinosaure de Walt Disney ont été conçus dans le but d’endoctriner les masses avec la vision du monde darwinien. L’intérêt que nos enfants manifestent pour les dinosaures est scruté avec attention par les évolutionnistes. Ils ont trouvé la faille par laquelle il faut passer pour arriver à saturer leur imagination avec des images sorties directement des contes de fée évolutionnistes. La Parole de Dieu a de nouveau frappé dans le mille quand elle dit : « …les pensées du cœur de l’homme sont mauvaises dès sa jeunesse. » (Genèse 8 : 21).

Beaucoup de gens pensent que l’existence des dinosaures et leur disparition sont couvertes d’un mystère si épais que nous ne pourrons jamais connaître la vérité concernant leur origine, l’époque de leur existence et leur vie. Mais il faut se rendre compte que les dinosaures ne sont un mystère que si nous acceptons la version darwinienne de leur histoire. Selon les évolutionnistes, les dinosaures sont apparus il y a quelques 235 millions d’années, ont « dominé » la terre pendant près de 140 millions d’années, pour disparaître ensuite en laissant des ossements fossilisés comme témoignage de leur existence. Mais beaucoup d’évolutionnistes affirment que certains des dinosaures ont évolué en oiseaux (voir volume III de ma série Le Grand Mensonge), donc ils n’ont pas disparu, mais ils volent autour de nous encore aujourd’hui.

En revanche, la Bible dit que les dinosaures ont été créés le cinquième (dinosaures volants et dinosaures marins) et le sixième jours (dinosaures terrestres), en même temps que l’homme et qu’ils n’ont jamais « dominé » la terre. Après le Déluge (il y a 4500 ans à peu près), les animaux sortis de l’Arche de Noé, y compris les dinosaures, vécurent dans le monde présent avec l’homme. A cause du péché, le jugement de Dieu comme conséquence de la malédiction édénique et le Déluge, le climat et beaucoup d’autres éléments de la vie ont changé pour le pire. Avec le temps cela a causé la mort et l’extinction de beaucoup d’espèces animales, y compris les dinosaures, situation qui se poursuit encore aujourd’hui.  

Qu’on soit créationniste ou évolutionniste, les faits concernant les dinosaures sont les mêmes. Tous les scientifiques ont les mêmes données ; nous vivons tous dans le même monde, nous disposons des mêmes fossiles, observons les mêmes créatures vivantes, et avons le même univers.

Si les faits sont les mêmes, pourquoi les explications sont-elles si différentes ? La raison en est que nous n’avons que des faits présents – les fossiles des dinosaures existent maintenant – mais les scientifiques essayent de les transposer dans le passé. Ils se posent la question : Qu’est-il arrivé dans le passé qui ait pu faire apparaître les dinosaures, provoquer leur extinction, et laisser leurs fossiles dans les couches géologiques ?

La science qui s’occupe de ces problèmes est connue sous le nom de science de l’histoire des origines, et elle diffère de la science opérationnelle qui, elle, nous a apporté tout le confort que nous connaissons aujourd’hui. La science des origines s’occupe du passé qui n’est pas accessible à l’expérimentation directe, à l’inverse de la science opérationnelle. A cause des difficultés liées à la reconstruction du passé, ceux qui étudient les fossiles (les paléontologues) ont des opinions différentes concernant les dinosaures et tout le reste d’ailleurs.

Un paléontologue qui croit au récit biblique inspiré va parvenir à des conclusions différentes de celles d’un athée qui rejette la Bible. Un déni volontaire de la Bible en tant que Parole de Dieu est la racine de beaucoup de controverses concernant la science des origines.

Beaucoup de gens pensent que la Bible n’est qu’un livre religieux qui ne parle que de salut des âmes. Elle est beaucoup plus que cela. La Bible est Le Livre de l’Histoire de l’Univers et elle nous dévoile aussi la destinée future de l’univers. Elle nous livre des informations au sujet du commencement du temps, de la matière et des événements importants de l’histoire comme l’entrée du péché et de la mort dans le monde, l’époque où toute la surface de la terre a été détruite par les eaux du Déluge, la séparation des langues lors de la construction de la Tour de Babel, le récit du Fils de Dieu venant en tant qu’homme, Sa mort et Sa résurrection, ainsi que les nouveaux cieux et la nouvelle terre à venir.

En fin de compte, il n’y a que deux façons de penser : en commençant avec la révélation de Dieu (la Bible) comme base de toute pensée et donnant lieu à dans une perspective chrétienne sur le monde ; ou bien en commençant avec la raison humaine comme base de toute pensée et produisant comme résultat une perspective séculière sur le monde.

Si nous acceptons le témoignage biblique sans être obligés d’harmoniser les Ecritures avec les croyances darwiniennes, nous parviendrons sans conteste à la conviction évidente que l’homme et les dinosaures étaient contemporains. En effet, considérons que la Parole de Dieu indique clairement, que tous les baramins (espèces crées) ont été créés pendant les six premiers jours de la semaine de la Création.  Moïse a écrit : « Car en six jours l’Eternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu… » (Exode 20 : 11). Ceci comprend aussi l’homme et les dinosaures. Le Seigneur Jésus, lui, a affirmé que l’homme a existé depuis « (le) commencement de la création. » (Marc 10 : 6), ce qui exclut la notion que les dinosaures se sont éteints depuis des « millions d’années » avant que l’homme n’apparaisse sur la terre. Et Dieu avait donné à l’homme la domination sur toutes les créatures de la terre (Genèse 1 : 26). Il n’y a aucune raison valable d’exclure les dinosaures de ce nombre.  

La plupart des chrétiens ont été endoctrinés par les media et notre système d’éducation qui les ont amenés à penser d’une manière séculière. Et ils ont tendance à amener la pensée séculière vers la Bible, au lieu d’utiliser la Bible pour construire leur façon de penser. Mais la Bible nous dit : « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait. » (Romains 12 : 1-2).

Si on commence avec une perspective séculière de l’histoire (pour laquelle il n’y a aucun témoin oculaire, ni de document écrit à part la Bible), alors la façon de penser séculière sera utilisée pour expliquer les preuves dont nous disposons – le résultat sera le récit évolutionniste concernant les dinosaures comme mentionné plus haut.

Mais si on commence avec la perspective biblique de l’histoire en utilisant le document écrit par le Témoin oculaire (Dieu) de tous les événements historiques, alors une façon totalement différente de penser sera utilisée pour expliquer les mêmes faits – le résultat sera l’explication biblique mentionnée plus haut.

La Bible décrit beaucoup d’animaux connus encore aujourd’hui : le lion, le loup, l’ours, la brebis, le bœuf, le chien et toutes sortes d’oiseaux, de reptiles et d’insectes. Ce qui est intéressant pourtant, c’est que dans la liste de tous les animaux mentionnés dans la Bible, il y en a trois qu’on ne reconnaît plus. Ces trois noms (dans l’hébreu originel biblique) sont tanniyn (tan, tannin, tannim, tannoth), béhémoth et léviathan. Que sont ces animaux ? Bien que nous ayons un peu changé la prononciation de ces mots, nous les utilisons toujours dans nos bibles. Le mot tanniyn (ou tannin) apparaît 28 fois dans le texte original, et dans la plupart des cas est traduit par « dragon », mais il se rencontre aussi traduit par « serpent », « monstre marin », « dinosaure », « bête énorme » et « reptile ». Béhémoth et léviathan sont des créatures spécifiques, et chacun d’eux représente très certainement une espèce distincte. Tannin est plutôt une appellation générale et peut être considéré comme la version originale du mot « dinosaure ». Bien sûr, le mot dinosaure ne se trouve pas dans la Bible, et c’est tout à fait normal : elle a été écrite bien avant que ce mot n’ait été inventé.

Nous avons vu que le mot dinosaure a été inventé en 1841, plus de 3000 ans après que la Bible a parlé de « tannin ». Pour être plus clair, je présente un tableau comparatif des noms anciens et des noms nouveaux des dinosaures :

 tableauBible_Dino

Si on lit correctement tous les textes bibliques concernant le béhémoth (Job 40 : 10-19) et le léviathan (Job 40 : 20 – 41 : 25 ; Psaumes 104 : 26 ; Esaïe 27 : 1) on arrive à la seule conclusion qu’il n’y a pas des créatures sur terre aujourd’hui qui correspondent à ces descriptions. Mais si vous avez entre les mains un livre sur les dinosaures pour les enfants, avec des desseins, vous vous apercevrez qu’il y a plusieurs équivalents possibles de chacune de ces deux créatures.  

Selon Job 40, le béhémoth a les attributs suivants :

1         Il mange de l’herbe comme le bœuf.

2         Il plie sa queue aussi ferme qu’un cèdre.

3         Ses os sont des tubes d’airain.

4         Ses membres sont comme des barres de fer.

5         Il est la première des œuvres de Dieu.

6         Il se couche sous les lotus, au milieu des roseaux et des marécages.

Parce que les traducteurs ne savaient pas de quel animal il s’agissait, dans beaucoup de traductions et de versions, ils laissèrent le mot original : béhémoth. Mais d’autres, en l’absence d’une meilleure représentation, l’identifièrent avec l’hippopotame ou même avec l’éléphant. Mais si on analyse le contexte avec attention, on s’aperçoit que ni l’hippopotame, ni l’éléphant ne collent à la riche description donnée par le Seigneur.

Bien qu’un hippopotame ou un éléphant « mange de l’herbe comme le bœuf », ni un éléphant, ni un hippopotame n’ont une queue comme un cèdre. Les seuls animaux qui en aient une, ce sont les dinosaures.

 

Et pour qu’un animal puisse avoir une queue comme un cèdre, le reste du corps doit suivre, en d’autres termes, l’animal doit être énorme. Une phrase clef est : « Il est la première des œuvres de Dieu… ». Cette phrase dans la langue originale implique que le béhémoth était le plus grand animal terrestre créé. Bien qu’un éléphant ou un hippopotame soit grands, ils ne font qu’un dixième de la taille d’un Brashiosaure, le plus grand dinosaure (complet) jamais découvert. Un hippopotame peut peser jusqu’à quatre tonnes, mais certains dinosaures pesaient jusqu’à trente tonnes. Ce qui nous permet de réaliser que le Brashiosaure pouvait être facilement décrit comme « la première des œuvres de Dieu ».

Certains paléontologues ont trouvé des fragments d’ossements de jambes, de côtes ou de vertèbres qui, selon eux, appartiennent à de « nouveaux » sauropodes, plus grands que le Brashiosaure. Des nouveaux noms ont été donnés : Amphicoelias, Argentinasaure, Sauroposeïdon, Seismosaure, Supersaure et Ultrasaure. Mais il n’existe aucune preuve nous permettant de déterminer réellement la taille d’aucune de ces bêtes, tout reste dans le domaine de la spéculation. Nombreux d’autres paléontologues croient que ces os appartiennent aux spécimens plus grands de dinosaures déjà connus comme le Brashiosaure et le Diplodocus. De toute façon, il n’y a que le « nom moderne scientifique » du béhémoth qui peut changer. Ce qui est important à retenir, c’est que le béhémoth est un dinosaure, et non pas un animal « moderne » comme l’éléphant ou l’hippopotame.   

C’est important de noter que le béhémoth dans le livre de Job a été décrit comme s’il était une vraie créature que tout le monde connaissait. S’il n’avait jamais existé et si l’homme ne l’avait jamais vu, cela n’aurait aucun sens que la Bible en parle. Il existe une abondance de preuves fossiles qui montrent que des dinosaures ressemblants à la description du béhémoth ont vraiment existé. La description est tellement parfaite qu’on dirait que Job est allé voir un dinosaure dans un musée d’histoire naturelle.  

Comment l’écrivain de ce livre connaissait-il les dinosaures ? L’explication la plus logique est qu’il a vécu avec les dinosaures, qu’il les a vus vivre. Mais le béhémoth n’est pas le seul dinosaure décrit dans le livre de Job.

 

Selon Job 40 et 41, Psaumes 140 et Esaïe 27, le léviathan a les attributs suivants (liste partielle) :

1         Nul n’est assez hardi pour l’exciter.

2         Qui pénétrera entre ses mâchoires ? Qui ouvrira les portes de sa gueule ?

3         Ses magnifiques et puissants boucliers sont unis ensemble comme par un sceau. Ils se serrent l’un contre l’autre, et l’air ne passerait pas entre eux. Ce sont des frères qui s’embrassent, se saisissent, demeurent inséparables,

4         Ses éternuements font briller la lumière, ses yeux sont comme les paupières de l’aurore. Des flammes jaillissent de sa bouche, des étincelles de feu s’en échappent. Une fumée sort de ses narines, comme d’un vase qui bout, d’une chaudière ardente. Son souffle allume les charbons, sa gueule lance la flamme,

5         C’est en vain qu’on l’attaque avec l’épée, la lance, le javelot, la cuirasse ne servent à rien. Il regarde le fer comme de la paille, l’airain comme du bois pourri. La flèche ne le met pas en fuite, les pierres de la fronde sont pour lui du chaume. Il ne voit dans la massue qu’un brin de paille, il rit au sifflement des dards,

6         Sur la terre nul n’est son maître, il a été créé pour ne rien craindre,

7         Le léviathan a été formé pour « jouer dans les flots » de la « grande et vaste mer » (Psaumes 104 : 25-26),

8         Le léviathan est « le serpent fuyard et tortueux, … le reptile (le dragon) qui est dans la mer » (Esaïe. 27 : 1).

La description du léviathan s’étale sur une bonne partie de deux chapitres du livre de Job. C’est une longue description bien détaillée. Quelle aurait été la raison d’une telle description si la créature n’avait pas existé ? Mais le léviathan est aussi mentionné par Esaïe (chapitre 27 : 1), Asaph (Psaumes 74 : 14) et l’écrivain du Psaumes  104 : 26. Aucun d’entre eux n’a décrit le léviathan, ils le mentionnent seulement au passage, car ils étaient certains que tous savaient de quoi il s’agissait. Ce monstre a dû être très commun à leur époque.

A la différence du béhémoth qui est énorme, le léviathan est féroce et terrifiant. Beaucoup de références (notre liste n’est pas complète) sont liées à la mer, ce qui implique une créature marine. Bien que certaines bibles traduisent le léviathan par crocodile (et il est féroce), le crocodile n’est pas une créature marine (à une petite exception près, et elle n’est pas très claire, en ce qui concerne le crocodile qu’on rencontre souvent près des côtes de l’Australie du Nord). Le crocodile se sent bien dans l’eau, mais il passe aussi beaucoup de temps sur la terre. La question : « Qui ouvrira la porte de sa gueule ? » implique que personne ne peut le faire. Bien qu’on ne puisse pas ouvrir la gueule du crocodile dans des conditions normales, un coup porté sur leur point faible au museau, ou un doigt pénétrant dans son œil peuvent le surprendre suffisamment pour lui faire lâcher sa prise. Il est vrai que certaines caractéristiques du léviathan correspondent à celles du crocodile, mais pris en totalité, ce n’est pas tout à fait vrai. Mais ce n’est pas tout. 

La description des écailles du léviathan est très intéressante. Comparé à l’armure du léviathan, le fer est comme de la paille et les flèches ne peuvent pas le mettre en fuite. La vérité est qu’une flèche peut faire beaucoup de dégâts à un crocodile, donc la description ne concorde ni avec le crocodile, ni avec l’alligator, ni avec le gavial, ni avec le caïman, ni avec aucun autre animal que nous connaissons.

En ce qui concerne le feu, il est difficile de lire la Bible et de ne pas s’apercevoir qu’elle nous dit clairement que le léviathan crachait du feu. Ce qui élimine presque tous les animaux vivants. Il y a un seul animal qui crache du feu aujourd’hui : le scarabée bombardier que nous avons étudié en détail dans le premier volume de la série « Le Grand Mensonge ». Si Dieu a créé un animal qui peut cracher du feu, et que nous pouvons voir aujourd’hui, il n’y a aucune raison de douter a pu en créer d’autres dans le passé, doté des mêmes capacités. D’un autre côté, le crocodile et les autres créatures mentionnées plus haut laissent à désirer sur ce même point très spectaculaire.

Avant de passer à autre chose, je voudrais vous soumettre trois faits intéressants concernant les « cracheurs de feu » :

1.       L’histoire de chaque culture est remplie de récits de dragons cracheurs de feu. En méditant ce fait, essayez de vous rappeler si vous avez jamais lu l’histoire d’un lion cracheur de feu ! Ne vous tracassez pas, il n’y en a pas ! Personne n’a été à ce point stupide qu’il a formé un récit basé sur quelque chose qui n’a jamais existé. Et nous savons que toutes les légendes sont basées sur des faits véridiques, bien qu’avec le temps ces faits aient nécessairement subi des changements. Mais les récits faisant intervenir des dragons sont basés sur la vérité, et il n’y a que les « dragons » qui crachent du feu dans les récits qui nous viennent de tous les pays.    

2.       Beaucoup de crânes dinosauriens fossilisés contiennent des cavités, de conduits et des orifices vides, qui restent sans explication. Les scientifiques n’ont jamais été capables de deviner à quoi servaient ses orifices. Tout comme le scarabée bombardier utilise le même type d’orifices, de conduits et de cavités pour mélanger deux gaz non toxiques de manière à les rendre toxiques et explosifs, le léviathan a certainement utilisé ces parties de son organisme dans le même but.

3.       En 2006, j’ai vu un documentaire au nom évocateur « Dragons ! Et s’ils existaient !?! » à la télévision concernant des dinosaures volants cracheurs du feu, trouvés en Europe Centrale. Les réalisateurs du documentaire n’avaient aucun doute sur les capacités de l’animal en question de cracher du feu et ils l’expliquaient avec beaucoup de détails.

 

Comparant toutes ces informations à la description donnée dans un livre sur les dinosaures, nous arrivons à la conclusion que le léviathan correspond le mieux au kronosaure (17 mètres de longueur), ou peut être même au liopleurodon (25 mètres). Il y a bien sûr beaucoup d’autres suggestions, mais le kronosaure est celui qui cadre le mieux avec la description du léviathan. Bien que le mot dinosaure se réfère strictement aux animaux terrestres, les reptiles marins et les reptiles volants leur sont souvent associés.

Il y a des gens qui croient que la Bible n’est pas un livre scientifiquement correct, et qu’elle n’est qu’un « livre spirituel » qui a oublié de mentionner les dinosaures ou qui les a décrits incorrectement. Ceci est très éloigné de la vérité. Personne n’a jamais prouvé que la Bible contienne des informations incorrectes. Je défie quiconque de le faire.   

Vous n’avez pas à croire la Bible uniquement parce que quelqu’un vous a dit qu’elle est la vérité. Cela s’appelle la foi aveugle, et vous n’avez pas besoin de foi aveugle pour devenir chrétien. Ce n’est pas que le pasteur, le rabbin ou le curé « doit savoir », non, la véracité du christianisme a été prouvée maintes et maintes fois dans le passé et aujourd’hui encore par les vies transformées qu’il produit. Nous sommes, chacun d’entre nous, des témoins vivants de la véracité de la Parole de Dieu ! Il n’y a aucune autre « religion » qui peut dire honnêtement la même chose.

Malheureusement, notre système éducatif et les media ont convaincu la grande majorité des gens que les dinosaures se sont éteints, il y a au moins 60 millions d’années, avant l’apparition de l’homme sur la terre. D’ailleurs, je rappelle encore une fois, qu’il y a 30 ans ce chiffre était de 100 millions d’années, et qu’il continue de diminuer presque tous les cinq ans par tranches de 5 à 10 millions d’années. A ce rythme, dans une cinquantaine d’années, la science va enfin rejoindre la vérité.

 

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Bien que décrits dans la Bible, et aussi dans la littérature ancienne et ailleurs, les scientifiques évolutionnistes entourent les dinosaures d’un profond mystère pour mieux nous mentir.   

Pour mieux déloger ce mystère qui pèse sur les dinosaures, nous allons poser plusieurs questions les concernant et nous allons y répondre suivant la perspective biblique. La connaissance des faits méconnus du grand public est largement suffisante pour enlever le voile des ténèbres qui a été jeté sur ces créatures. 

Des ossements fossilisés de ce que nous appelons aujourd’hui des dinosaures ont été trouvés partout dans le monde. Beaucoup de découvertes ne consistent que de quelques fragments d’os, tandis que d’autres ont mis à jour des squelettes presque complets. Les scientifiques ont été capables de décrire différents types de dinosaures, basés sur des caractéristiques distinctives, comme par exemple la structure du crâne, des membres, etc. Dans l’abondance des descriptions, il apparaît pourtant une grande variation dans la définition de ce qu’est exactement un dinosaure.  

En quoi les dinosaures sont-ils différents des autres créatures ? Outre la grande taille de certains d’entre eux, la caractéristique principale qui les distingue des autres reptiles est la position de leur bassin et de leurs membres. Ils ont une posture verticale tout comme les mammifères. Les membres des autres reptiles sortent du côté du tronc, comme chez les crocodiles.

Concernant leur taille, il est intéressant de noter, que la plupart des dinosaures étaient de la taille d’un poulet et même plus petits. Si on doit donner une taille « dinosaurienne » moyenne ce sera approximativement celle d’un âne.  

De quoi avaient-ils l’air ? On n’a jamais trouvé un dinosaure entier intact (avec ses os, sa peau, ses muscles, etc). Même si on trouve tous les os, on aura toujours moins de 40% de l’animal pour deviner comment le reste était vraiment. Les os ne peuvent pas nous donner des informations sur la couleur de l’animal, par exemple, bien que quelques fossiles donnant une impression de la peau aient été trouvés, indiquant ainsi sa texture.

 Quand les scientifiques reconstituent un dinosaure d’après son squelette, ils doivent faire toutes sortes de suppositions, et sont très souvent en désaccord entre eux. Un bon exemple sera le cas des débats touchant à la question de savoir si les dinosaures étaient à sang chaud ou à sang froid. C’est même très difficile, à partir des os, de savoir si un dinosaure était mâle ou femelle. Il y a énormément de spéculations concernant ces choses. Personne ne sait, tout le monde suppose.

En ce qui concerne le sang chaud ou froid des dinosaures il est intéressant de noter que le climat du monde antédiluvien était semi tropical. Donc un animal à sang froid n’avait pas de problèmes pour survivre dans ces conditions. Les autres raisons de croire que les dinosaures avaient le sang froid sont les suivantes :

1.       Les peaux fossilisées dont on dispose sont identiques aux peaux des reptiles modernes.

2.       La taille de la gueule comparée à la taille de tout le dinosaure ne pouvait pas suffire pour avaler suffisamment de nourriture nécessaire pour maintenir un corps à sang chaud.

3.       Puisque le climat de la terre antédiluvienne du Pôle Nord au Pôle Sud était modéré, subtropical, un sang froid n’était pas un inconvénient comme il l’est aujourd’hui.

4.       Mais l’une des raisons pour lesquelles les évolutionnistes veulent que les dinosaures aient été à sang chaud, c’est leur désir de pouvoir ainsi les faire évoluer en oiseaux !

D’où sont-ils venus ? Comme tout le monde l’a appris à l’école, les évolutionnistes disent que les dinosaures, qui sont des reptiles, ont évolué à partir d’un certain reptile « spécial », qui, lui, a évolué à partir des amphibiens, qui eux ont évolué à partir des poissons, et ainsi de suite ; et tout ceci pendant des millions et des millions d’années. Mais ils n’arrivent pas à dire quel était l’ancêtre reptilien et quelles ont été les formes de transitions par lesquelles les dinosaures sont passés, de sorte qu’ils ne peuvent prouver leurs arguments. L’arbre dinosaurien évolutionniste comporte beaucoup de sortes différentes de dinosaures, mais il n’y a que des lignes hypothétiques (en pointillé) qui les unissent à leur ancêtre présumé. Et les lignes sont en pointillé parce qu’il n’y a aucune preuve fossile. Ils ne peuvent pas prouver leur croyance dans un ancêtre non dinosaurien pour les dinosaures.   

Nous avons vu que cette spéculation darwiniaque est complètement farfelue, mais elle est tellement ancrée dans le subconscient collectif qu’il est extrêmement difficile de l’extirper. Mais là où le bât blesse pour les évolutionnistes, c’est que cette « idée » implique qu’au cours des millions d’années nécessaires à cette « évolution », il y a eu une multitude de formes intermédiaires (chaînons manquants). Il est de fait normal de s’attendre à ce que ces formes transitoires, nécessairement nombreuses, se retrouvent en abondance dans toutes les strates de la prétendue colonne géologique.  

Et pourtant, la plupart des experts en fossiles reconnaissent à contre cœur qu’aucune trace incontestable n’a jamais été trouvée nulle part dans le monde. Cela aurait dû leur mettre la puce à l’oreille, mais ayant voilé leurs yeux par toutes sortes de spéculations infondées, leurs oreilles sont devenues sourdes.

 

Si les dinosaures ont vraiment évolué à partir des amphibiens, il est raisonnable de chercher des traces fossiles de créatures en partie dinosaurienne et en partie amphibiennes, et de les trouver. C’est la chose la plus logique qui soit. Mais si on visite un musée d’histoire naturelle, on voit que les fossiles de dinosaures sont à 100% ceux de dinosaures et rien d’autre.  

La Bible dit que Dieu a créé les animaux marins et les animaux ailés le cinquième jour et tous les animaux terrestres le sixième jour de la Création. Ce qui veut dire que Dieu les a créés parfaitement fonctionnels pour la vie qu’Il avait prévue pour eux : les dinosaures ont donc été 100% dinosaures dès le premier jour de leur existence (ceci est valable, du reste, pour tous les autres animaux). Et c’est exactement ce que nous enseignent les archives fossiles. De tous ces millions et millions de fossiles de dinosaures, pas un seul os ne démontre ne serait-ce qu’un semblant de quelconque évolution.  

Les darwiniaques affirment haut et fort que l’homme n’a jamais vécu en même temps que les dinosaures. La Bible, en revanche, affirme le plus clairement possible que les dinosaures terrestres et l’homme ont été créés le même jour. Qui croire ? L’homme faillible, et de plus désireux d’être indépendant de Dieu pour ne pas avoir à répondre devant Lui de ses méfaits, ou le Dieu omniscient qui a tout créé ? Mais nous allons voir plus loin qu’il existe de nombreuses preuves que l’homme et les dinosaures ont toujours été contemporains jusqu’à une époque pas si éloignée de nous, et même qu’il est possible qu’il y ait toujours des dinosaures vivants aujourd’hui dans beaucoup d’endroits éloignés de la « civilisation ».

Les dinosaures étaient-ils herbivores ou carnivores ? L’auteur de la Genèse affirme qu’Il avait donné à tous les animaux, ainsi qu’à l’homme, de manger des fruits et des légumes, d’être végétariens : « Et Dieu dit : Voici, Je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d’arbre et portant de la semence : ce sera votre nourriture. Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, Je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi. » (Genèse 1 : 29-30).

Cela veut dire qu’il n’y avait aucun carnivore à la Création. Dans le monde parfait créé par Dieu, il n’y avait pas la mort et une parfaite harmonie régnait entre l’homme et les animaux.

La Chute est venue et avec la Chute, la mort est rentrée dans le monde, puisque Dieu a jugé le péché par la mort. La Parole de Dieu, dans sa totalité, enseigne que ni l’homme ni les animaux ne connaissaient la mort avant le péché d’Adam.

Après le péché d’Adam, la mort est venue sur l’homme et sur les animaux. Un autre monde, « façonné » par le péché et soumis au péché, a remplacé le monde parfait d’avant la Chute, un monde maudit par le Créateur Lui-même (Genèse 3 : 14-19). Mais Dieu a fait une promesse (Genèse 3 : 15) : Il allait pourvoir au moyen par lequel le salaire du péché serait payé par un descendant d’Adam (le deuxième Adam) et ainsi la communion entre Dieu et l’homme serait restaurée.

Des films comme Jurassic Park et Le monde perdu présentent la plupart des dinosaures comme des carnivores agressifs. Mais la simple présence de dents pointues ne peut nous dire comment un animal se comportait dans la vraie vie, ou quelle était sa nourriture, mais seulement quelle sorte de dents il avait. Cependant, par l’étude de coprolithes dinosauriens, les scientifiques ont pu déterminer le régime alimentaire de certains dinosaures.

Beaucoup d’animaux aujourd’hui ont des dents pointues, mais sont pourtant majoritairement végétariens. Le grand panda a des dents acérées et pourtant ne se nourrit que de bambou. Différentes espèces de chauves-souris mangent des fruits, du nectar, des insectes, des petits animaux et du sang, mais leurs dents ne montrent pas clairement ce qu’ils mangent. Tous les ours ont des dents semblables à celles des grands félins, mais certains sont végétariens, et la plupart sont avant tout végétariens.

Dieu a décrit le monde d’avant la Chute comme « très bon ». Beaucoup de personnes ne peuvent pas accepter ce concept d’harmonie parfaite, à cause de la chaîne alimentaire qu’on observe dans le monde aujourd’hui. Mais cela nous autorise-t-il à regarder le monde frappé par la malédiction divine, avec sa mort et sa lutte pour la survie, qui sont toutes les deux des conséquences du péché, et à tirer de notre observation que le récit historique de la Genèse doit être rejeté ? Le péché a provoqué des changements universels. Voilà pourquoi l’apôtre Paul décrit la présente création comme soupirant et souffrant les douleurs de l’enfantement (Romains 8 : 22). Nous devons regarder à travers l’enseignement de la Bible pour comprendre le monde qui nous entoure.

Personne ne sait si des structures comme les crocs et les griffes faisaient partie de l’équipement originel ou étaient des caractéristiques récessives, devenant dominantes plus tard du fait des processus sélectifs, ou bien des caractéristiques liées à des mutations génétiques (microévolution) dues à la malédiction apportée par la Chute et qui seraient l’effet de la dégradation entropique. Mais nous savons une chose : après la Chute, tout a changé et ce n’est qu’à partir de la malédiction édénique que les animaux ont commencé à s’entretuer. Dieu décrit ce que le monde était devenu au temps de Noé : « Dieu regarda la terre, et voici, elle était corrompue ; car toute chair avait corrompu sa voie sur la terre. » 

Après le Déluge, Dieu a changé le comportement des animaux : « Vous serez un sujet de crainte et d’effroi pour tout animal de la terre, pour tout oiseau du ciel, pour tout ce qui se meut sur la terre, et pour tous les poissons de la mer : ils sont livrés entre vos mains. »

Mais la question la plus importante concernant les dinosaures est bien sûr : Quand ont-ils vécu ? Cette question est d’une telle importance que la bataille fait rage continuellement entre les tenants d’une Terre jeune âgée de quelques milliers d’années et les adeptes d’une Terre âgée de plusieurs milliards d’années.  

D’après les hypothèses évolutionnistes les dinosaures (qui ont vu plusieurs fois des changements dans le nombre des millions d’années invoquées), auraient vécu il y a des millions d’années en arrière, dominé la vie terrestre pendant 140 millions d’années et auraient disparu il y a 65 millions d’années. Le problème est que les chercheurs n’ont jamais trouvé des os de dinosaures comportant des étiquettes, comme aux musées, mentionnant leur âge. Nous avons déjà vu dans le premier volume que leurs méthodes de datations sont toutes faillibles et même à rejeter. Tout ce qu’on découvre, ce sont des dinosaures morts et fossilisés (pas toujours, comme on va le voir plus loin). Les âges qui se comptent en millions d’années ne sont que spéculation, et s’accordent, bien entendu, avec leur croyance dont ils sont issus. Ils n’ont aucune preuve (nous avons beaucoup de preuves contraires) valable et indiscutable concernant ces énormes intervalles de temps.  

Aucun scientifique n’était présent, pendant ce prétendu « âge d’or des dinosaures », pour les voir vivre. Aucun scientifique non plus n’a jamais observé la mort et l’extinction des dinosaures. Ce qu’on trouve aujourd’hui, ce sont des os, et parce que plusieurs (pas tous, loin de là) d’entre eux croient au dogme darwiniaque, ils tentent de faire cadrer l’histoire des dinosaures avec leur « théorie ».

Dieu nous a-t-Il dit quand Il a créé les dinosaures ? Beaucoup, même des chrétiens, vont dire que non. Mais la Bible déclare que Dieu a créé le monde en six jours, et que les animaux terrestres ont été créés le sixième jour. Et elle ajoute que la mort, la maladie et la souffrance n’existaient pas avant la Chute. Si nous prenons la Parole de Dieu au sérieux, interprétant l’Ecriture avec l’Ecriture, alors nous serons conduits à accepter que toutes ces choses mauvaises sont arrivées dans le monde seulement après le péché d’Adam. C’est quand Dieu a tué un animal afin de revêtir Adam et Eve de sa peau que la mort animale est survenue la toute première fois. Le sang ainsi versé était aussi une image de la rédemption qu’allait accomplir l’Agneau de Dieu, Jésus-Christ. Ainsi, il ne pouvait pas y avoir d’animaux tués avant le péché. Si c’était le cas, Christ est mort en vain !

Cela veut dire que les dinosaures ont commencé à mourir après que le péché est rentré dans le monde, pas avant ; ainsi les os de dinosaures ne peuvent, en aucun cas, être plus âgés que le premier homme, et donc avoir des âges se comptant en « millions d’années ».

Pourquoi y a-t-il des fossiles de dinosaures ? Dans le sixième chapitre de la Genèse il est dit que « la terre était corrompue devant Dieu, la terre était pleine de violence … Alors Dieu dit à Noé : la fin de toute chair est arrêtée devant Moi ; car ils ont rempli la terre de violence ; voici, Je vais les détruire avec la terre. » (versets 11 et 13).

A cause de la méchanceté de tout être vivant, Dieu avertit un homme intègre, Noé, qu’Il va détruire toute vie sur la terre par un déluge. Noé devrait alors construire une arche de bois de gopher et prendre avec lui dans l’arche toute sa famille ainsi qu’un couple de chaque baramin (et sept couples des animaux purs – Genèse 7 : 2-3) pour leur conserver la vie (Genèse 6 : 18-20). Certaines personnes croient que les dinosaures étaient trop grands pour pouvoir rentrer dans l’arche, ou bien qu’il n’y avait pas assez de place pour loger tous les baramins de dinosaures.  

N’oublions pas que les dinosaures sont des reptiles et comme tous les reptiles ils grandissent pendant leur vie, les plus grands étant les plus vieux et vice versa. Les experts affirment qu’il y avait entre 20 et 50 baramins différents de dinosaures, la plupart étant de petite taille. Et même pour les plus grands d’entre eux, il aurait été normal que Noé eût pris de jeunes spécimens pour avoir suffisamment de place pour tous. Il n’y avait donc aucun problème de place à bord de l’arche.

Mais qu’est-il arrivé à tous les autres humains et animaux ? La seule possibilité est qu’ils se soient noyés. Plusieurs ont été engloutis par des tonnes et des tonnes de boue comme il arrive assez souvent aujourd’hui lors de grandes inondations. La soudaineté du Déluge a créé des conditions favorables à leur préservation sous forme de fossiles. N’oublions pas que fossile veut dire mort soudaine, dans la majorité des cas au moyen de l’eau, ensevelissement rapide et forte pression. Voilà pourquoi on retrouve partout sur la terre, des milliards de créatures mortes enterrés dans des couches de roches formées par la boue.

Qu’est-il arrivé aux dinosaures ? C’est la question qui stimule le plus l’imagination des darwiniaques. Ils croient que les dinosaures ont « dominé » le monde pendant des millions d’années, puis ont disparu, beaucoup de temps (quand même) avant l’apparition de l’homme sur la terre. Les spéculations vont bon train et les hypothèses fleurissent abondamment. Ce qu’on trouve dans la littérature « scientifique » sur le sujet est tout simplement abracadabrant. Jugez plutôt les hypothèses avancées pour expliquer l’extinction des dinosaures :

1         Un énorme astéroïde est venu heurter la terre il y a 65 millions d’années (c’est l’hypothèse la plus couramment évoquée pour l’instant).

2         Les dinosaures sont morts de faim.

3         Les dinosaures sont morts de suralimentation.

4         Les dinosaures ont été empoisonnés (par qui, par quoi ?).

5         Des cataractes les ont rendus aveugles et incapables de se reproduire.

6         Des mammifères ont dévoré leurs œufs.

7         Les dinosaures ont été asphyxiés par des poussières volcaniques, un gaz toxique… (mettez ce qui vous vient à l’esprit).

8         Ils ont été tués par des comètes, des taches solaires, des météorites… (idem).

9         Ils ont commis un suicide collectif (cette hypothèse a été réellement avancée).

10     Ils sont morts par constipation, du fait du rétrécissement de leurs cerveaux, par des hernies discales (le poids de la chair en quelque sorte), par l’action des parasites.

11     Par les changements atmosphériques.

 

Il est clair que les évolutionnistes ne savent plus à quel saint se vouer et s’accrochent à n’importe quoi. Dans un livre évolutionniste qui traite cette question, l’auteur, Alan Charig, écrit : « Maintenant la question importante : quelle est la cause de toutes ces extinctions survenues à une époque précise, il y a environ 65 millions d’années ? Des douzaines d’explications ont été avancées, certaines sérieuses et sensées, d’autres assez saugrenues, sinon carrément risibles. Chaque année, cette épineuse question suscite de nouvelles théories. Le problème est de trouver une seule explication pour la mort, au même moment, non pas de tous les animaux terrestres et marins, mais seulement de certains d’entre eux, puisque plusieurs représentants de ces espèces ont vécu « heureux » durant la période qui a suivi. Hélas, aucune explication de ce type n’existe. »

En réalité elle existe bien, seulement elle a été écartée d’office par l’établissement scientifique, qui n’a même pas voulu en prendre connaissance. Elle se trouve dans la Genèse chapitres 6 à 8 : lors du Déluge, plusieurs créatures marines sont mortes, mais certaines ont survécu. Si toutes les créatures terrestres qui n’étaient pas à bord de l’arche ont péri, celles qui ont été dans l’arche, elles, ont survécu. Ces animaux terrestres, y compris les dinosaures, ont découvert que le monde postdiluvien était très différent du monde prédiluvien qui a péri.

Le nouvel environnement qu’ils trouvèrent était caractérisé par :

1         une compétition accrue pour la nourriture devenue beaucoup moins abondante,

2         de nombreuses catastrophes, suite au Déluge,

3         un climat devenu beaucoup plus sévère,

4         la transformation de l’homme en prédateur, ainsi que d’autres animaux en carnassiers,

5         la destruction des habitats naturels,

6         la présence des zones désertiques…

Ainsi plusieurs espèces commencèrent à s’éteindre, dont les animaux qu’on connaît aujourd’hui sous le nom de dinosaures. Mais les dinosaures ne sont pas les seuls animaux qui se sont presque éteints à l’époque postdiluvienne. Un bon nombre d’autres espèces animales s’éteignent chaque année depuis longtemps. Pensez à toutes les espèces en voie de disparition partout sur la terre. Combien d’espèces protégées y a-t-il aujourd’hui ? Comme nous le savons de par la Deuxième Loi de la Thermodynamique, l’extinction est la règle dans l’histoire de la terre depuis la Chute. Et ceci est confirmé par notre propre expérience : toute chose laissée à l’abandon s’effrite, se désintègre, s’éteint.

Alors les dinosaures ont-ils disparu il y a 65 millions d’années (chiffre officiel provisoire) ou certains ont-ils survécu jusqu’à une époque pas très éloignée, et même jusqu’à aujourd’hui ? Dans le livre de Job, nous l’avons vu, Dieu décrit une bête énorme, qu’Il appelle le béhémoth et qui était connue de Job. Très peu d’animaux sont décrits avec autant de détails dans la Bible que le béhémoth et le léviathan. Contrairement à ce qu’on croit, l’animal que nous appelons aujourd’hui dinosaure est mentionné dans la Bible plus souvent que la plupart des animaux.  

Voici une liste non exhaustive de références bibliques supplémentaire mentionnant les dinosaures : Deutéronome 8 : 15 (serpents brûlants), Deutéronome 32 : 33 (tannyin, traduit par serpent), Job 30 : 29 (tannyin, traduit par chacal, bien que le mot hébreux veuille dire dragon ou monstre), Psaumes 44 : 20 (idem), Psaumes 74 : 13 (tannyin, traduit par monstres sur les eaux), Psaumes 104 : 26 (monstre marin), Psaumes 148 : 7 (tannyin, traduit par monstres marins), Esaïe 13 : 22 (tannyin, traduit par chiens sauvages), Esaïe 30 : 6 (dragon volant), Esaïe 34 : 13 (tannyin, traduit par chacals), Esaïe 35 : 7 (idem), Esaïe 43 : 20 (idem), Jérémie 9 : 11 (idem), Jérémie 10 : 22 (idem), Jérémie 14 : 6 (tannyin, traduit par serpents), Jérémie 49 : 33 (tannyin, traduit par chacals), Jérémie 51 : 34 (dragon), Jérémie 51 : 37 (chacal), Ezéchiel 32 : 2 (crocodile), Michée 1 : 8 (chacal), Malachie 1 : 3 (idem).

D’autres références aux dragons, mais concernant Satan, se trouvent dans : Job 26 : 13 (serpent fuyard), Néhémie 2 : 13 (dragon), Psaume 91 : 13 (dragon), Esaïe 27 : 1 (léviathan), Esaïe 51 : 9 (le monstre), Apocalypse 12 : 3, 4, 7, 9 et 17 ; 13 : 2, 4 et 11 ; 16 : 13 et 20 : 2.

Les dinosaures étaient appelés dragons avant que le mot dinosaure n’apparaisse dans les années 1800, ce qui est confirmé par toutes les légendes de dragons provenant de tous les pays du monde, mais aussi par des livres d’histoires anciennes trouvés dans différentes bibliothèques du monde relatant en détail des rencontres d’humains et de dragons. Au grand dam des darwiniaques, plusieurs de ces descriptions de dragons concordent parfaitement avec ce que les scientifiques modernes décrivent comme des dinosaures. Bien sûr, les évolutionnistes ne veulent pas reconnaître cette évidence, parce que selon leur croyance, les dinosaures et les humains n’ont jamais vécu en même temps. Que cela ne tienne, plus nous fouillons les livres historiques, plus nous rencontrons des preuves de l’existence de dragons, et on a même des témoignages de plusieurs personnes d’il y a pas si longtemps (quelques centaines d’années) ! Nous étudierons quelques exemples dans un chapitre à part dans le volume IV de la série « Le Grand Mensonge » pour mieux démontrer le mensonge concernant ces bêtes.

Nous allons aussi voir certaines preuves de l’existence de dinosaures vivant aujourd’hui ! Il y a des scientifiques qui pensent qu’un petit nombre de dinosaures survivent encore dans des jungles encore inexplorées, notamment en Afrique. Mais cela sera le sujet d’un autre chapitre entier.

 

Conclusion

 

Bien que les dinosaures soient fascinants, on pourrait se dire : « Mais pourquoi s’occupe-t-on tant d’eux ? Il y a certainement d’autres sujets beaucoup plus importants dans notre monde d’aujourd’hui que nous devrions résoudre : l’avortement, les ruptures familiales, le racisme, l’antisémitisme, la promiscuité, la malhonnêteté, l’homosexualité, l’euthanasie, le suicide, l’anarchie, la pornographie, et ainsi de suite. En effet, nous devrions répandre l’Evangile de Jésus-Christ et ne pas nous inquiéter des sujets secondaires comme les dinosaures ! »

En fait, l’enseignement évolutionniste sur les dinosaures répandu dans notre société aujourd’hui a une grande importance sur la réaction des masses qui ne veulent pas écouter la Bonne Nouvelle, ni prêter l’oreille à la mention de l’existence même des problèmes sociaux mentionnés plus haut.

Si nous acceptons leur enseignement, alors nous devons accepter que le récit biblique historique soit faux ! Et si la Bible est fausse dans ce domaine, alors elle n’est pas la Parole de Dieu et nous pouvons, par conséquent, ignorer tout ce qu’elle dit d’autre sur des sujets que nous trouvons inconvenants. 

Réfléchissons bien ! Si toute chose s’est faite d’elle-même par des processus « naturels », sans Dieu, alors Dieu n’est pas notre Créateur et Il n’a aucun droit de nous dire comment nous devons vivre. S’Il n’existe pas vraiment, mais n’est qu’une invention religieuse, alors il n’y a aucune base absolue pour la morale. Sans Dieu, tout est bon – les concepts de bien et de mal ne sont que des notions dépendant de notre opinion ou de notre confort. Et sans fondement pour la morale, le péché n’existe pas. Pas de péché, pas de jugement et pas besoin d’un Sauveur !

Mais si nous acceptons la Parole de Dieu comme la seule autorité, alors nous pouvons expliquer aussi les dinosaures et tout le reste. En agissant ainsi, nous aiderons les gens à voir que la Genèse est digne de confiance et logiquement défendable, ainsi qu’elle est ce qu’elle dit être : le récit véridique de l’histoire de l’humanité et de l’univers. Et ce que nous croyons concernant la Genèse va déterminer ce que nous croyons concernant le reste de la Bible ! A son tour, ceci va déterminer ce que nous pensons de nous-mêmes, des autres, et de la vie, y compris de notre besoin de salut !